Là c’est le passage ou je suis resté ¾ d’heure le pied sur le frein.
En fait, par excès d’optimisme, je n’ai pas mis mon bloc AR et au milieu de la pente ( assez raide et glissante) il y avait un petit croisement de pont.
Résultat, la voiture qui patine dans la choucroute et une fois de plus l’ABS qui ne comprend plus rien.
Par chance, j’ai conservé le freinage.
Je peux vous dire que rester ¾h le pied sur le frein, c’est long et on attrape des crampes.
Bon ce que l’on ne voit pas sur les photos, c’est que l’arbre à l’arrière droit se trouve à quelque centimètre de la carrosserie.
Chaque tentative de montée ou descente me rapprochait de cet arbre.
Une tentative de me sortir par l’avant ( sangles) a échoué car manque d’adhérence en haut pour le véhicule tracteur et aucune adhérence pour moi pour l’aider.
Tentative de reculer, en empèchant le DID de riper à l’aide du hi-lift d’Olivier. Mais, malheureusement celui ci était grippé.
Finalement il a fallu se résigner à reculer avec des volontaires qui empèchait à la force de la main le DID de ripper.
Ben, finalement ça a marché et on a réussi à redescendre le Pajero sans lui refaire le coté.
En bas, je met mon blocage de différentiel AR , j’enclenche la
et j’envoie les
WATT.
La montée a été alors une formalité.
Cela a refroidit la plus part du groupe puisque seul 4 véhicules ont voulu faire le passage. Olivier faisait partie des 4 bien sur.
Moralité : ne jamais pècher par excès de confiance et jouer la carte sécurité au moindre doute.